Chinese, Mandarin

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Kurdish, Northern

Kurdish, Southern

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Greek, Modern

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Akan, Twi

Akan, Fante

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Chinese, Min Bei

Sylheti

Zulu

Czech

Kinyarwanda

Marwari, Dhundhari

Haitian Creole

Chinese, Min Dong

Ilocano

Quechua

Kirundi

Swedish

Hmong

Shona

Uyghur

Hiligaynon

Mossi

Xhosa

Belarusian

Balochi

Seiso V1 (French)

<h3>Vocabulaire</h3>

<table>
  <tr>
    <th></th>
    <th>Seiso</th>
    <th>Français approximatif</th>
    <th>Aide pour prononcer</th>
  </tr>
  <tr>
    <td></td>
    <td><strong>saa-lam</strong></td>
    <td>
        Penser comprendre
    </td>
    <td>[sa a lam]</td>
  </tr>
  <tr>
    <td>️</td>
    <td><strong>saa-min</strong></td>
    <td>Demander des explications, chercher à comprendre</td>
    <td>[sa a min]</td>
  </tr>
</table>

<h3>Formes Pronominales</h3>

<p>
    Il est toujours possible de construire un pronom à partir du terminal d'un nom.
</p>
<table>
    <tr>
        <th>Exemple</th>
        <th>Traduction</th>
        <th>Explications</th>
    </tr>
    <tr>
        <td>neina, haemin sna</td>
        <td>Il y a un chat, il organise le repas.</td>
        <td>
            Dans la 2ème partie de la phrase, après la virgule, 
            le mot <strong>na</strong> (traduit par "il") se réfère au chat.
        </td>
    </tr>
    <tr>
        <td>leena, haemin sna</td>
        <td>Il y a une vache, elle organise le repas.</td>
        <td>
            Ainsi, "na" permet dans cette situation 
            de se référer au dernier nom en "na".
        </td>
    </tr>
    <tr>
        <td>leega, neina fga</td>
        <td>Il y a un steak, le chat va le manger.</td>
        <td>
            On peut utiliser n'importe quel terminal (ici ga) pour former un pronom.
        </td>
    </tr>
    <tr>
        <td>leega, ga ohaemibn</td>
        <td>
            Il y a un steak, ce steak était présent lors du repas.
            (il n'a donc pas été mangé)
        </td>
        <td>
            Encore une fois, "ga" reprend le steak.
        </td>
    </tr>
</table>

<p>
    Lorsqu'un nom vient d'être mentionné avec un suffixe d'origine, 
    il n'est pas nécessaire de répéter ce suffixe sur les prochaines mentions de ce nom.
</p>
<table>
    <tr>
        <th>Exemple</th>
        <th>Traduction</th>
        <th>Explications</th>
    </tr>
    <tr>
        <td>haemi<strong>b</strong>n shaenab, neina fmi<strong>b</strong>n</td>
        <td>
            le cuisinier avait organisé le repas, 
            ce chat s'y rendait.
        </td>
        <td>
            Le suffixe "b" sur fmin n'est pas nécessaire
            (voire exemple suivant)
        </td>
    </tr>
    <tr>
        <td>haemi<strong>b</strong>n shaenab, neina fmin</td>
        <td>
            le cuisinier avait organisé le repas, 
            ce chat s'y rendait.
        </td>
        <td>
            Cette phrase équivaut sans ambiguité à la précédente.
            La marque du souvenir "b" est déjà sur le premier "haemin", 
            il n'y a pas besoin de la répéter sur "fmin".
        </td>
    </tr>
</table>

<h3>Subordonnées</h3>

<p>
    Un nom peut être mis en relation avec toute une phrase.
</p>
<p>
    La phrase en relation est une phrase normale, 
    dont le pronom est le terminal du nom mis en relation.
</p>
<table>
    <tr>
        <th>Sans subordonnée</th>
        <th>Avec subordonnée</th>
        <th>Explications</th>
    </tr>
    <tr>
        <td>
            <strong>haemin sneina</strong> 
            <br></br>(le cuisinier organise le repas)
        </td>
        <td>
            <strong>hae haemin sna</strong> 
            <br></br>(le cuisinier qui a organisé ...)
        </td>
        <td>
            On retrouve "haemin s-" en infixe de "neina".
        </td>
    </tr>
    <tr>
        <td>
            <strong>seimin shaena fsaamins</strong>
            <br></br>Le cuisinier discute pour comprendre
        </td>
        <td>
            <strong>hae seimin fsaamin sna</strong>
            <br></br>Le cuisinier qui discute pour comprendre
        </td>
        <td>
            On retrouve "seimin fsaamin s-" en infixe de "haena".
        </td>
    </tr>
</table>
<p>
    Les subordonnées sont relativement peu fréquentes en Seiso, 
    en particulier lorsque la phrase mise en relation est complexe.
    On préférerait dans ce cas produire deux phrases séparées, juxtaposées.
</p>
<p>
    Elles peuvent cependant se montrer utiles 
    lorsqu'elles sont simplifiables et simplifiées : 
</p>
<table>
    <td>
        <strong>hae sei fsaa sna</strong>
        <br></br>(le cuisinier qui discute pour comprendre)
    </td>
    <td>
        On a retiré les terminaux de 
        "sei<strong>min</strong>" et "saa<strong>min</strong>".
        C'est particulièrement courant lorsque tous les noms
        de la relations ont le même terminal (ici "min"),
        mais peu se produire même lorsque ce n'est pas le cas,
        à condition que le contexte soit suffisant.
    </td>
</table>

<p>
    Aussi, les subordonnées ajoutent une certaine flexibilité
    à l'expression : 
</p>
<table>
    <tr>
        <th>Sans subordonnée</th>
        <th>Avec subordonnée</th>
        <th>Explications</th>
    </tr>
    <tr>
        <td>
            <strong>seimibn shaena fe, min sna fsaamins</strong>
            <br></br>Le cuisinier a discuté avec moi, 
            il l'a fait pour comprendre (quelque chose).
        </td>
        <td>
            <strong>seimibn shae sei fsaamin sna</strong>
            <br></br>Le cuisinier qui discute pour comprendre a discuté avec moi.
        </td>
        <td>
            On retrouve "seimin fsaamin s-" en infixe de "haena", 
            et "haena" utilisé dans la phrase : "seimibn shaena".
        </td>
    </tr>
</table>
